• JU 52

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  • Junkers 52 Avion Sanitaire
     

    Les Junkers Ju 52 furent utilisés durant la guerre d'Algérie de 1956 à 1960 dans les deux « Groupes sahariens de reconnaissance et d'appui » no 76 et 78. Ils permirent d'effectuer de très nombreuses missions de reconnaissance, de transport, de recherches SATER (Sauvetage Aèro-TERrestre) et d'évacuations sanitaires.

    Junkers 52 Avion Sanitaire

     

      Junkers 52 Avion sanitaire pendant la seconde guerre mondiale

    Junkers 52 Avion Sanitaire

     Un Junkers 52 Transformé en Avion Sanitaire

    Junkers 52 Avion Sanitaire

    L'embarquement des blessés par la porte bâbord ne semble pas très facile

    Junkers 52 Avion Sanitaire

     Un JU52/3m en Norvège

    Junkers 52 Avion Sanitaire

     Intérieur de la carlingue d'un Junkers 52 qui pouvait accueillir 12 blessés sur civières

     

    Junkers 52 Avion Sanitaire

     Un Junkers 52 sanitaire en Hongrie

     

    Junkers 52 Avion Sanitaire

     Un Ju 52/3m g4e servant dans le rôle de Sanitats-Flugzeug, ou avion ambulance, été 1938

     

    Junkers 52 Avion Sanitaire

     Ce Junkers 52 est noyé dans le brouillard et dans la neige

     

    Junkers 52 Avion Sanitaire

     Action sanitaire

     

    Junkers 52 Avion Sanitaire

    Toujours beaucoup de blessés à soigner et à évacuer

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    Junkers 52 Avion Sanitaire

    Réception des blessés

     

    Junkers 52 Avion Sanitaire

    Un Junkers 52 Avion Sanitaire

     

    Junkers 52 Avion Sanitaire

    De l'ambulance au Junkers Sanitaire

     

    Junkers 52 Avion Sanitaire

    Tante Ju prend en charge un blessé gravement touché

     

    Junkers 52 Avion Sanitaire

    Des blessés et des civières - Des médecins et des infirmiers
    C'est la mission réservée au Junkers Sanitaire

     

    Junkers 52 Avion Sanitaire  

    Il y a urgence
    Le Junkers Sanitaire pourtant très lent, aura arraché beaucoup de blessés à l'enfer des combats

     

     

       
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  • Junkers 52 Transport de troupe
     

    Les Junkers 52 jouent ensuite un rôle décisif lors des opérations aéroportées du début de la Seconde Guerre mondiale en Hollande, Belgique2 et en Norvège (pour ce cas on verra une version hydravion équipée de deux flotteurs) en 1940 et contre la Crète en 1941, même si, à cette occasion, les pertes deviennent vite importantes à cause de sa lenteur (265 km/h environ) et de son faible armement. Il sera aussi utilisé pendant l'hiver 1942-43 pour ravitailler Stalingrad ainsi que pour soutenir les forces allemandes en Tunisie (avril 1943 : 150 vols par jour) et pendant l'évacuation de la Sicile en avril 1943. Il sera livré des exemplaires à la Hongrie et à l'Italie.

    Il équipait aussi la flotte personnelle d'Hitler et son état-major (jusqu'à cinquante appareils).

    Sa production fut interrompue à la mi-1944 malgré le renforcement de son blindage et de son armement (modèle Ju 52/3m g14e). La production était arrivée à plus de 3 200 appareils.

     

    Junker 52 Transport de troupe

      Quand le Führer est accueilli par ses troupes

    Junker 52 Transport de troupe

     Vol en formation de plusieurs Junkers 52
    A partir du Ju 52/3m g5e, la mitrailleuse ventrale en cuve disparut au profit de deux mitrailleuses latérales de 7.92mm. Cet armement fut complété par la suite sur la version Ju 52/3m g7e par une autre mitrailleuse, toujours de calibre 7.92mm en position dorsale à l'avant du fuselage.

    Junker 52 Transport de troupe

    La satisfaction qui se lit sur le visage de ces soldats indique que tout allait encore bien pour le Reich.

    Junker 52 Transport de troupe

     Image de propagande dans le Junkers 52 personnel de Hitler

    Junker 52 Transport de troupe

    Dignitaires allemands et Junkers 52 (Image de propagande)

    Junker 52 Transport de troupe

     Intérieur de la carlingue d'un Junkers 52 qui pouvait accueillir 18 parachutistes

     

    Junker 52 Transport de troupe

     La cabine passager du Junkers 52 permettait le transport de 12 blessés sur civières

     

    Junker 52 Transport de troupe

     Une vue en écorché de la carlingue du Junkers 52 recevant 18 soldats à son bord

    Junkers 52 Transport de troupe

    Avec un transport Ju-52 en arrière-plan, le maréchal Gerd von Runstedt rencontre un officier italien sur un aérodrome. Le Ju-52 transportait du personnel lors de longs voyages tout en servant également de principal moyen de transport aérien pour le réapprovisionnement de l'armée allemande.

    Junker 52 Transport de troupe

     

     Ce Junkers 52 est paré pour décoller

     

    Junker 52 Transport de troupe

     Le nerf de la guerre
    Le ravitaillement est primordial pendant la campagne d'Afrique

    Junkers 52 Transport de troupe

     Photographié en vol depuis un autre avion, un avion de transport Ju-52 chargé de fournitures se dirige vers une destination proche des lignes de front en Afrique du Nord.

    Junkers 52 Transport de troupe

     Des soldats allemands sortent d'un Ju-52 qui vient d'atterrir à la suite d'un vol dangereux à travers la mer Méditerranée depuis un aérodrome en Italie.

     .

    Junker 52 Transport de troupe

    Des images toujours spectaculaires ces sauts de parachutistes

     .

    Junker 52 Transport de troupe

    Embarquement à bord du Junkers 52
    La campagne de Crête s'avère désastreuse pour les parachutistes Allemands

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    Junker 52 Transport de troupe

    Un aperçu de la campagne de crête entre soldats Britanniques et parachutistes Allemands

     

    Junker 52 Transport de troupe

    Bataille de Crête
    Aucune opération aéroportée d'envergure n'est plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre.

     

     

       
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  • Les images ont déjà fait le tour du monde. Un Boeing 777 de la compagnie américaine United a été contraint d’atterrir en urgence à Los Angeles après un incident au décollage. L’appareil, qui devait relier San Francisco au Japon, a perdu un de ses pneus après quelques secondes dans les airs. L’objet a endommagé plusieurs voitures en s’écrasant dans un parking de l’aéroport, sans heureusement faire de victimes selon les médias américains, cités par l’AFP. Aucune des 249 personnes à bord de l’avion n’a non plus été blessée.

     

    France Info


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    Avion De Transport Junkers 52
     
     Constructeur    Junkers  Nb construits  4845  1er vol  1930  
    Moteurs     3 BMW 132T  Type  Moteur en étoile 9 cyl  Puissance  715 ch (526 kW)  
     Envergure  29.25 m
     Longueur 18m90  Hauteur  4m5  Surface alaire  110.5m²
    Vitesse 266km/h Plafond 5490m Rayon d'action  870km Equipage  3    
    Poids   6510 kg Poids total  10990 kg    18 fantassins ou paras - 12 blessés civières  
    Canon    Mitrailleuses 1MG 131 de 13 mm  ou  2 Maschinengewehr 15 de 7,92 mm  
    Le Junkers Ju 52 (surnommé Tante Ju en allemand, Iron Annie par les Anglais) était un avion de transport en tôle ondulée fabriqué par la firme allemande Junkers à partir des années 1930. Construit à plus de 4 845 exemplaires entre 1931 et 19521, il a été utilisé par de nombreuses compagnies aériennes (douze compagnies), mais aussi comme avion de transport militaire et bombardier pendant la Seconde Guerre mondiale..

    Ju52-1m monomoteur

    Le Junkers Ju52 était l'un des modèles les plus réussis de Hugo Junkers et Junkers Flugzeugwerke. La conception a été lancée en 1928 sous le nom d'EF30 par Zindel et était principalement basée sur le W33/W34 . Comme ses prédécesseurs, le Ju52 a été conçu comme un avion cargo, qui devrait offrir plus de capacité que les modèles précédents. Les premières conceptions voyaient un monoplan de haut niveau avec un et deux moteurs, mais plus tard, Zindel a changé la conception en un monoplan cantilever avec un moteur similaire au F24 . Ces Ju52 monomoteurs furent plus tard désignés sous le nom de Ju52/1m .

    Le premier vol a été effectué par Zimmermann le 3 septembre 1930. En novembre 1930, l'avion a été présenté pour la première fois aux forces allemandes et en décembre 1930, l'avion a été certifié par le DVL. En février 1931, l'avion fut présenté pour la première fois au public à l'aéroport de Tempelhof. Les premiers tests opérationnels furent effectués en juin 1931, lorsque le prototype fut livré à Luftfrako, un opérateur cargo allemand. Après la fin des essais opérationnels, l'avion fut renvoyé à Junkers. Le deuxième prototype fut transformé en hydravion en juillet 1931 et effectua son premier vol depuis Zimmermann le 17 juillet 1931 sur l'Elbe. La production des 12 premiers avions du Ju52/1m a commencé en 1930. Mais Junkers n'a pas réussi à prévoir la demande d'avions cargo plus gros. Un seul Ju52/1m pourrait être vendu au Canada. Une fois les sept premiers avions terminés, Junkers décida d'arrêter la production de ce type. Le fuselage du 8e au 12e avion a été converti au standard amélioré Ju52/3m. Les Ju52/1m restants furent ensuite repris par la Luftwaffe et utilisés comme avions cibles.

    Avion De Transport Junker 52

    Comme la plupart des avions Junkers des années 20 et du début des années 30, Junkers et Zindel ont également développé une version militarisée du Junkers Ju52. L'un des sept prototypes (c/n 4004) a été transporté par avion à AB Flygindustri à Limhamn en Suède. En Suède, des supports pour torpilles ont été ajoutés à l'avion et il a été immatriculé en Suède sous le nom de SE-ADM. Ce bombardier torpilleur était désigné K45c . Le K45c a été rapatrié en Allemagne et a été utilisé par Junkers et la Luftwaffe pour des bombardements expérimentaux à la torpille. Comme les autres Ju52/1m, le K45c fut ensuite utilisé comme avion cible par Luftdienst GmbH. Aucune autre conversion militaire n'a été effectuée pour le Ju52/1m.

    Avion De Transport Junker 52

     Version civile de l'hydravion monomoteur Junkers 52  1/m 

    Avion De Transport Junker 52

    Trimoteur Junkers 9/m . A partir de 1930, 4845 exemplaires furent construits.

    Avion De Transport Junker 52

    Avion de transport le junkers 52 pouvait emporter 18 fantassins ou paras
    Avion sanitaire il emmenait  12 blessés sur civières

     

    Avion De Transport Junker 52

    Variante du Ju-52. Celle-ci  se trouve sur le parc de l'aéroport de Munich. 
    Elle fait partie du patrimoine comme un objet de musée.

     

    Avion De Transport Junker 52

    La Luftwaffe de Goering manifeste vite son intérêt pour le Junkers Ju 52, qu’elle destine à la fois au transport militaire (de matériel ou de parachutistes) et au bombardement.
    On peut apercevoir ici une petite voiture qui va devenir très célèbre.


    Avion De Transport Junker 52

    Le Junkers Ju 52 est surnommé Tante Ju en allemand.
    D2600 c'est le junkers personnel de Hitler. 

     

    Avion De Transport Junker 52

     Descente d'avion du Führer devant la presse et devant ses sympathisants
    L'avion a été activement utilisé pendant la guerre civile espagnole et les opérations aéroportées des troupes allemandes en Norvège, en Hollande et en Crète. 

     

    Avion De Transport Junker 52

     Pas vraiment des sports d'hiver.
    Mais pénible opération de déneigement pendant la bataille de Stalingrad.
     

    Avion De Transport Junker 52

     Visite de l'Etat Major  sur le gazon et sur le théâtre des opérations
    Mais la guerre n'est pas une partie de rigolade
    Toujours trop de morts et de blessés
     

     

     

       
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  • Comment ça marche un moteur en étoile?


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    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale
     

    En 1945 la guerre est terminée, la flottille 7.F de Dakar continue d’user ses derniers Sunderland III livrés en 1943, pour des patrouilles en mer le long des côtes africaines, non sans casse car, en septembre et novembre 1949, deux de ces appareils se crashent en mer, l’un au large de Dakar et l’autre en Méditerranée, entraînant la perte des deux équipages.

    La France demande alors à l’Angleterre de lui fournir d’autres appareils pour remplacer ces avions devenu obsolètes, mais il n’y a rien de disponible sur le marché. Les Britanniques ont besoin de tout leur matériel et les Américains font payer en dollars leurs fournitures. Finalement, les Anglais acceptent de faire un effort et les premières livraisons ne se feront qu’à partir de 1951 dans le cadre des accords de réarmement intervenus au début de la Guerre Froide. Il est alors prévu de remettre à la France dix-neuf Sunderland Mk.V, (il est confirmé que c’est finalement 23 appareils qui ont été livrés, quatre furent ajoutés et livrés en 1957) destinés à remplacer les appareils Mk. III livrés en 1943.

    Les nouveaux appareils seront tous modifiés et mis à la version Mk.V, les « Sunderland » ne sont plus en fabrication à cette époque et les Anglais nous fourniront des appareils ayant déjà volé, certains encore en service, d’autres en réserve, ils seront reconditionnés et modernisés, certains seront prélevés sur les derniers appareils pris en compte par la Royal Navy, il s’agit de modèle Mk.III ou Mk.V, mais tous seront livrés mis au dernier standard avant livraison.

     

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     Un Sunderland de la 50.S..

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     Le Sunderland Mk.III ML.871 de la 7.F en vol

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

    Sunderland Mk.V de la 7.S (insigne bien visible) à Dakar-Bel-Air

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     Sunderland Mk.III de la 7.F au mouillage

     

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     

    Un  bombardier Short S25 Sunderland de la RAAF accidenté

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale


    Sunderland Mk.V de la 27.F au mouillage

     

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     Equipage du 12 S 4 Sunderland sur son train artificiel et remorque arrierre

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     La base de Saint Mandrier à Toulon

     

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     Un Short S25 Sunderland de la Marine Nationale

     

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     Centre d’aéronautique maritime de Lanvéoc-Poulmic

     

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

    Hergé s'est servi d'une photo sur carte postale, qui a du circulé aussi dans la presse, de la déclinaison militaire du Short Sunderland dénommé ici S.25 

     

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

    L'hydravion dans sa version civile, S.23 Empire, que l'on voit donc en fin des 7 Boules de Cristal (Hergé aimait bien les avions jaunes...) .

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     

     Une page de l'album de Tintin où l'on peut voir le Sunderland dans ses évolutions.

     

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     Un Sunderland à Foynes

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     Un Short S25 Sunderland de la Marine Nationale

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     A Dakar, la sortie de l'eau d'un Sunderland nécessitait deux tracteurs (des Case LAI) attelés entre eux par une élingue, l'un tirant en marche AV et l'autre en marche AR.
    Il fallait que les deux tracteurs embrayent simultanément.
    Il arrivait parfois, s'il n'y avait pas eu simultanéité d'embrayage, que l'élingue qui reliait les deux engins se rompt.
    Il fallait alors la remplacer, durant ce temps mort, le tracteur relié au zinc suffisait à le maintenir sur le slip.

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     Le Short S25 Sunderland MkV 7F-4 de la Marine Nationale

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

    L’Aéronautique Navale Française des Forces Françaises Libres recevra 19 de ces appareils dont les premiers commenceront à opérer à partir de Dakar dès juillet F.1943 et formeront la 7FE qui deviendra plus tard la 7F puis la 27F. Ils participeront aux opérations menées de conserve avec les Alliés : reconnaissance, lutte anti-sous marine, escorte des convois.

    En 1958 trois iront à l’escadrille 12S à St Mandrier, trois à la 50S jusqu’en 1960. il  semble que la 53S en ait aussi utilisés.

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

    L'earo recoit en 1943 des sunderland du type MK III équipés de moteurs Bristol Pegassus de 1060 cv et de 2 tourelles commandes électriques.

    C'est a partir du 13/04/1951 que la livraison du type MK V commence avec des moteurs P ET W R 1830 de 1200cv et de 3 tourelles pour la 7 F et après changement d'appellation pour 27 F

    Ils finiront leur carrière a la 50 S a la 12 S et comme avion école a la 53 S

     

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     Train amovible et chariot arrière, Gros travail pour mettre ces éléments en place dans l'eau avant de le tirer sur le parking , soit au tracteur ou treuil spécial

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     Cet aéronef a ensuite gagné la Grande Bretagne, Duxford, pour être exposé dans un musée dans le milieu des années 70.

    Les Hydravions S25 Short Sunderland De La Marine Nationale

     Plans du Sunderland

    Col Bleu

     

     

     

     

     

     

       
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  • Les Plans du Bombardier S25 Short Sunderland
     
    Alors que le premier S.233 était en cours de développement, le Air Ministry britannique émis le besoin d’une version purement militaire d’un de ces hydravions. Le ‘’Air Ministry Specification R.2/33’’ émis en 1933 par le gouvernement anglais appelait donc à la conception d’un hydravion de nouvelle génération pour la reconnaissance maritime. Ce nouvel avion devait être un quadrimoteur soit en configuration biplan ou monoplan.

     

    Les Plans du Bombardier S25 Short Sunderland

     Une des dernières versions du short S25 Sunderland.

    Les Plans du Bombardier S25 Short Sunderland

     La RAF reçut son premier Sunderland Mark I en juin 1938. Le deuxième appareil de production (immatriculé L2159) fut envoyé au No. 230 Squadron RAF  basé à Seletar (Singapour). Au déclenchement de la Guerre en Europe, en septembre 1939, le Coastal Command possédait 40 Sunderlands. 

    Les Plans du Bombardier S25 Short Sunderland

    La dernière version de production fut le Sunderland Mark V, qui prenait en compte les remontées des équipages sur le manque de puissance des moteurs Pegasus. Le surpoids de l'appareil, en partie due à l'installation du système radar, obligeait les équipages de Sunderland à utiliser les moteurs en régime de combat en vol normal.
    L'usure prématurée des moteurs nécessitait leur remplacement fréquent..

    Les Plans du Bombardier S25 Short Sunderland

     La charge offensive principale du Mark I était de 910 kg (soit 2 000 lbs) et était constituée de bombes de 250 lbs, 500 lbs ou de mines navales de 1 000 lbs, stockées dans des racks de la section centrale. Plus tard, des charges de profondeurs de 250 lbs furent ajoutées. À la fin 1940, l'armement défensif fut augmenté par l'ajout de deux mitrailleuses Vickers K dans des sabords situés juste derrière les ailes et protégées du vent par des déflecteurs, et par l'ajout d'une seconde mitrailleuse dans la tourelle avant.

     

    Les Plans du Bombardier S25 Short Sunderland

     De nouvelles hélices et un système de dégivrage furent aussi installés sur le Mark I durant l'année 1940. Bien que le décollage et l'amerrissage sur mer agitée fussent difficiles, un pilote expérimenté pouvait facilement le manœuvrer sur l'eau. Beaucoup d'équipage de bateaux ou d'avions en perdition dans la Manche furent secourus par des Sunderland. En mai 1941, durant la bataille de Crète, les S.25 permirent d'acheminer 82 fantassins équipés en un seul voyage.

    Les Plans du Bombardier S25 Short Sunderland

     Les mitrailleuses latérales sont encore présentes pour ces bombardiers Short S25 Sunderland.

    Les Plans du Bombardier S25 Short Sunderland

     Bombardier Short S25 Sunderland Mark III

    Les Plans du Bombardier S25 Short Sunderland

     Les bombes de ce bombardier Short S25 Sunderland sont au nombre de huit.

    Ce qui fait un poids total de 2000 kilos si ce sont des bombes de 250 kilos

    Les Plans du Bombardier S25 Short Sunderland

     Le Sunderland Mark III prouva qu'il était une des armes principales du Coastal Command dans la lutte contre les U-boote, avec le Consolidated PBY Catalina. À partir du moment où les sous-marins allemands commencèrent à utiliser en masse le système passif d'alerte radar Metox (permettant aux U-boote d'être alertés de l'approche d'avions utilisant le radar ASV Mk II), le nombre de détection diminua fortement. La réponse de la RAF fut une nouvelle variante radar ASV Mark III, opérant à partir d'une longueur d'onde de 50 cm avec des antennes pouvant être carénés sous des blisters appropriés.

    Les Plans du Bombardier S25 Short Sunderland

     Les équipages australiens proposèrent d'échanger les moteurs Bristol Pegasus contre des moteurs Pratt & Whitney R-1830B3. Ces moteurs 14 cylindres de 1 200ch, déjà utilisés sur les Catalinas et les Dakotas de la RAF, se révélaient simples en logistique et en entretien. Deux Mk III furent sortis des lignes de production début 1944 pour être équipé avec les moteurs américains. Les essais en vol démontrèrent les améliorations attendues. Les nouveaux moteurs équipés de nouvelles hélices à pas variable assuraient une nette amélioration des performances sans pénaliser le rayon d'action

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  • Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins
     
    Le Short Sunderland a été largement repensé pour son action militaire. Il a été l'un des plus puissants hydravions de la Seconde Guerre mondiale et a été largement utilisé tout au long de la guerre. Il a été employé dans la lutte contre les sous-marins allemands dans la bataille de l'Atlantique. Les S.25 de la RAF servirent aussi durant la guerre de Corée et restèrent en action jusqu'en 1959. Ceux de la Royal New Zealand Air Force (RNZAF) jusqu'en 1967. Le S.25 doit son nom de baptême à la ville de Sunderland dans le nord de l'Angleterre.

     

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Sauvetage en pleine mer par l'équipage d'un S25 Sunderland.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Un cargo vient d'être torpillé 
    Le Sunderland attaque le sous-marin à la mitrailleuse.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

    Le chasseur de sous-marin surveille la surface de la mer pouvant cacher un U Boat.
    Le cargo est momentanément en sécurité.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Patrouille dans l'Atlantique

     

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Duel dans l'Atlantique entre un U Boot et un bombardier Short S25 Sunderland.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Les trappes de bombardement sont refermées.
    Retour de patrouille dans l'Atlantique pour ce  bombardier Short S25 Sunderland.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Bmbardier Short S25 Sunderland désemparé, aile brisée  et moteur en feu.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Installation des bombes de 250 kilos

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Une bombe de ce bombardier Short S25 Sunderland semble avoir atteint sa cible.

     

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Nouvelle attaque et mise en place des bombes


    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     

     C'est la fin pour cet hydravion Short S25 Sunderland

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Les bombes, une nouvelle fois, ont atteint leur objectif.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Kiosque repéré et mitraillage dans une mer noire et démontée.

     

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Les  bombes de 250 kilos sont en place

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     La bataille de l'Atlantique

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     La bataille de l'Atlantique est une guerre âpre et sans pitié

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Des charges de profondeurs et des grenades viennent d'être lancées.
    Néanmoins, il n'est pas certain que le sous-marin ait été touché.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Un U boat qui risque de devenir submersible pour longtemps.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     La difficile opération de transfert des bombes de 250 kilos est en cours.
    Le Sunderland devait pouvoir transporter 910 kg de bombes, mines sous-marines ou charges de profondeur. Ces munitions étaient stockées dans le fuselage et amenées sous le centre des ailes par des rails, en passant par des portes situées de chaque côté de la soute à bombes.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Nouvelle mission pour cet hydravion dans la  bataille de l'Atlantique.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     La mission est longue et périlleuse. Souvent plus de 10 heures et le rayon d'action de prés de 2848 Km.
    Le Sunderland est équipé d'une cuisine, car il est nécessaire de se restaurer.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Au mouillage la difficile opération de chargement des bombes.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     Trappe et logement des bombes pour cet hydravion dans la  bataille de l'Atlantique.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     .Emplacement des mitrailleuses. L'armement défensif compta plus de 18 mitrailleuses; plus qu’aucun autre avion durant ce conflit. D'où le surnom donné par les aviateurs allemands « Le Porc Epic »

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     .La redoutable tourelle arrière armée de 4 mitrailleuses.
    Une tourelle motorisée Nash & Thomson  FN-13 avec 4 mitrailleuses Browning de 7,7 mm. 

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     .Plus tard, au cours de la guerre une tourelle bitube fut adaptée sur le sommet du fuselage au niveau du bord de fuite des ailes. 

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     .Tenue de vol pour la prochaine mission.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     .Le canon automatique de 37 mm, initialement prévu comme principale arme anti-sous-marine, fut retiré durant la phase de prototypage et remplacé par une tourelle de nez Nash & Thomson  FN-11 armée d'une simple mitrailleuse Vickers de calibre .303 British.
    Par la suite une seconde mitrailleuse fut installée dans la tourelle avant.

     

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     .Le Sunderland EK573/P du 10e Escadron de l'ARC se « décolle » après avoir récupéré trois survivants d'un Wellington abattu dans le golfe de Gascogne, le 27 août 1944. Malgré une forte houle – et en sachant que de nombreuses tentatives d'atterrissage se sont soldées par un désastre – Le lieutenant d'aviation WB (Bill) Tilley a effectué un sauvetage réussi. Le No 172 Squadron Wellington s'était écrasé après avoir été touché par des tirs de retour lors d'une attaque contre le U-534 la nuit précédente.

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     .Cette photo montre l'équipage d'un Short Sunderland qui a effectué un atterrissage forcé à quatre milles des côtes libyennes après avoir été attaqué par deux Bf 109. L'avion a été gravement endommagé lors de l'atterrissage et cette aile s'est détachée. Alors que l'avion lui-même a fait naufrage sur la côte , l'équipage s'est mis en sécurité sur l'aile. Ils furent ensuite capturés par les troupes italiennes, mais furent abandonnés après quelques jours pour regagner les lignes britanniques par leurs propres moyens. Au moment où ils atteignirent la sécurité, le petit équipage du Sunderland captura à son tour ses gardes italiens d'origine ainsi qu'une centaine de soldats supplémentaires !

     

    Bombardier S25 Short Sunderland Chasseur De Sous-Marins

     .Sauvetage d'un équipage sinistré

     

     

     

       
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  • Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland
     
    Tout comme le S.23, le Sunderland était équipé de deux ponts avec pour le pont inférieur 6 couchettes, une cuisine avec deux réchauds à kérosène, un cabinet de toilette en porcelaine, un treuil pour l'ancre et un petit atelier pour les réparations devant être effectuées en vol. L'équipage prévu initialement était de 7 membres mais il fut rapidement monté à 11 ou plus sur les dernières versions.

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Poste de pilotage du Short S25 Sunderland.

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Appareil de visée?

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

    Le pilote inspecte la surface de la mer pouvant receler un U Boot

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Au centre les commandes des moteurs

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

    Pilote et copilote
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Les manettes des gaz semblent poussées à fond

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

    Derrière le poste de pilotage
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

    Poste de mitrailleur. Portrait informel du caporal O3153 (Cpl), plus tard lieutenant d'aviation, Percy Howard Smith RAAF prenant position comme mitrailleur aérien bâbord dans un avion RAAF Sunderland. Le Cpl Smith s'est enrôlé dans la RAAF le 7 novembre 1938 à Elwood, Victoria et a servi au sein du 10e Escadron de la RAAF au Royaume-Uni de 1939 à 1942. Il est retourné en Australie et a continué son service au sein de la RAAF jusqu'à sa libération le 20 juin 1954. Cette image a été publié dans le 'Western Evening Herald' avec le texte 'Très froid - Un mitrailleur australien au milieu du canon d'un hydravion Sunderland d'une station du Southern Coastal Command. C'est une position extrêmement froide car la tête du tireur est toujours à l'air libre.

    Heinkel 111
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Poste du mécanicien
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Instruments et manettes de contrôle. 

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Accès au pont inférieur et vue intérieure sur les couchettes.

     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Poste du navigateur
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

    Nouvelle vue du poste de pilotage

     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Le pont inférieur du Sunderland et vue vers l'arrière.
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

    Poste de radio de L'hydravion S25 Sunderland. 
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

    Intérieur de la carlingue
      Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland
    Plymouth, Angleterre. Vers 1940-03. Les membres de l'équipage prennent un repas en l'air dans un avion Sunderland du 10e Escadron RAAF à la station RAF Mount Batten.

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Plymouth, Angleterre. 19/12/1944. 419049 Sergent de section WG Leed, Bendigo, Vic ; 402705 Flying Officer JWV Greenwich, NSW, recevant une instruction sur le réglage d'un récepteur Marconi à bord d'un avion Sunderland du No. 10 Squadron RAAF basé à la station RAF Mount Batten.

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Le bombardier d'un Short Sunderland Mark I du No. 10 Squadron RAAF règle son Bombsight de mise en route Mark IXA lors d'un vol au départ de Mount Batten, Devon.

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Le pilote et le navigateur d'un Short Sunderland Mark I du No. 10 Squadron RAAF profite de quelques rafraîchissements pendant son service d'escorte de convoi dans l'Atlantique.

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Un membre de l'équipage d'un Short Sunderland Mark I du No. 10 Squadron RAAF, lavant la vaisselle dans la cuisine pendant un vol.

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Les 2 mitrailleurs latéraux d'un Short Sunderland Mark I du No. 10 Squadron RAAF montent la montre depuis leurs positions près des écoutilles dorsales ouvertes à mi-chemin le long du fuselage, pendant un vol. Deux canons à gaz 303 Vickers de type K étaient généralement installés dans ces positions pendant les opérations.
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Le Sergent Patrick McCombie, ingénieur de vol de la Royal Australian Air Force, dans sa couchette à bord d'un Short Sunderland du 10e Escadron RAAF à Mount Batten, Plymouth, Devon.

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Le navigateur d'un Short Sunderland Mark I du No. 10 Squadron RAAF, prépare un changement de cap à sa position lors d'un vol.
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Deux aviateurs démontrent les canons dorsaux Vickers 'K' de 7,7 mm (0,303 po) d'un Sunderland.
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Observation au travers d'un des sabords latéraux de bâbords
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

    Le Sunderland était équipé de deux ponts avec pour le pont inférieur 6 couchettes, une cuisine avec deux réchauds à kérosène, un cabinet de toilette en porcelaine, un treuil pour l'ancre et un petit atelier pour les réparations devant être effectuées en vol. L'équipage prévu initialement était de 7 membres mais il fut rapidement monté à 11 ou plus sur les dernières versions.

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Vue intérieure  sur la cuisine installée dans le pont inférieur.

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Dans la cuisine la vaisselle est bien arrimée.

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Les mitrailleurs sont toujours à leur poste sur le pont supérieur.

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Vue intérieure vers l'avant sur les couchettes dans le pont inférieur.
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Autre vue de la carlingue
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Ambiance opérationnelle dans le cockpit

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Vue à l'intérieur de la carlingue sur une des dernières versions du Sunderland
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Immersion à l'intérieur du Short S25 Sunderland.
     

    Cockpit du Bombardier S25 Short Sunderland

     Aménagement interne du Short S25 Sunderland 

     

     

       
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    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland
     
     La maintenance des moteurs était possible en ouvrant des panneaux d’accès situés sur le bord d’attaque de l’aile de chaque côté du moteur. Une nacelle facilitant l’accès pouvait être fixée devant le moteur sur ces panneaux ouverts. Un petit moteur à essence auxiliaire, installé dans l’aile droite, pouvait alimenter un puisard et une pompe à carburant pour écoper l’eau et autres liquides de fond de cale ainsi que pour le ravitaillement en carburant. 

    Hydravion Short Sunderland

     Les panneaux d’accès situés sur le bord d’attaque de l’aile de chaque côté du moteur, sont bien visibles.

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

     L'accès à l'hydravion se faisait le plus souvent par la mer.
    L'installation d'un chariot spécial pour rejoindre la terre était une opération très compliquée.

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

    Non, ce n'est pas l'heure de la sieste.
    Mais c'est la seule solution pour les mécaniciens de pouvoir intervenir sur les moteurs

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

     L’armement défensif était composé d’une tourelle motorisée Nash & Thomson (en) FN-13 avec 4 mitrailleuses Browning de 7,7 mm à l’extrémité de la queue, plus quatre mitrailleuses manuelles de même calibre tirant par des sabords de chaque côté du fuselage en avant et en arrière des ailes.  

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

    L'installation de ces panneaux de bord d'attaque, était une solution tré efficace pour travailler au dessus de l'eau
     

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

     Une vue intéressante de la tourelle avant rétractable.

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

    Une partie de l'équipage de cet hydravion bombardier, patrouilleur maritime et chasseur de sous marins.
    11 Hommes embarquent à chaque mission sur cet hydravion S25 Sunderland.
    Pilote, copilote, ingénieur-mécanicien, radio-opérateur, bombardier, navigateur, mitrailleur avant, 2 mitrailleurs de sabord, mitrailleur de queue, mitrailleur dorsal.
     

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

    On remarque souvent qu'une partie du personnel déambule sur le dos de l'appareil.
    Mais c'est la seule solution pour se déplacer sur un avion qui est aussi un bateau.

    Sur cette photo on peut observer la présence d'une flottille de Sunderlands.

    Heinkel 111
     

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

     Des opérations de maintenance difficiles mais nécessaires sur les moteurs Bristol Pegasus XXII
     

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

     Visiblement difficiles opérations de maintenance.
    En cas de chute de l'échafaudage, on tombe à la flotte.
    C'est un moindre mal finalement. 

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

     Maintenance périlleuse de la dérive.
    Cette opération est cruciale et nécessaire pour la sécurité de l'hydravion.

     

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

     Sur l'eau toutes les opérations de maintenance deviennent compliquées et nécessitent beaucoup de personnel.
    Comme ici à l'occasion de la dépose d'un moteur.
     

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

    Vue sur une partie des antennes radars. 
    Entrainement pour une opération de sauvetage.
    En pleine mer cela devient acrobatique et risquée mais tellement nécessaire aux naufragés de tout bords

     

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

     Le Sunderland n'étant pas pourvu de train d'atterrissage, un chariot spécial était nécessaire pour sortir d'appareil de l'eau. Ce chariot sur roues était conçu pour couler sous l'appareil. Le chariot principal constitué des roues principales et terminé par deux potences était fixé sous les ailes et plaqué le long de la coque. L'opération nécessitait que deux personnes s'immergent complètement. Un chariot plus petit venait se placer sous la queue, à l'endroit où la coque remonte pour sortir de l'eau. Les potences du chariot principal venaient se loger dans des butées sous les ailes et n'étaient maintenues en place que par le poids de l'avion.
     

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

    L'hydravion est maintenant au sec. 
     

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

    Les bombes étaient chargées via un accès spécial situé de part et d’autre de la partie supérieure de la soute à bombes. Ces bombes, chargées dans des conteneurs, pouvaient être sorties ou entrées de la soute à bombe en suivant des rails situés sous l’aile. Elles étaient ensuite installées dans les racks de lancement ou entreposées dans des conteneurs temporaires en attendant leur utilisation. Des trappes, s’ouvrant par gravité, étaient situées sous les racks de lancement permettant le largage des bombes. L’ouverture des trappes était actionnée par le pilote à distance ou depuis la soute. Les munitions utilisées étaient soit des bombes standards soit des charges de profondeur. Les racks de lancement étaient limités à 500 kg chacun, ce qui obligeait l’équipage à les rentrer et à les recharger manuellement une fois la première salve larguée. 
     

    Maintenance du Bombardier S25 Short Sunderland

    Des excroissances marines se fixant sur la coque posaient aussi problème : l’augmentation de la traînée induite sur un appareil chargé au maximum pourrait l’empêcher d’atteindre la vitesse de décollage. La solution pour se débarrasser de cette flore et faune indésirable était, soit de parquer l’avion en eau douce suffisamment longtemps pour les tuer, soit de gratter la coque une fois l’avion mis en cale sèche. 

     

     

     

       
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    Hydravion Short S25 Sunderland
     
     Constructeur    Short Brothers  Nb construits  478  1er vol  1937  
    Moteurs     4 Bristol Pegasus XXII  Type  Moteur en étoile  Puissance  1010 ch  
     Envergure  34,39 m
     Longueur 26m01  Hauteur  10m52  Surface alaire  138m²
    Vitesse 343km/h Plafond 5400m Rayon d'action  2848km Equipage  11    
    Poids   15663 kg Poids avec armement  26 332 kg      750kg de bombes - Mines - grenades  
    Canon    Mitrailleuses 16  Browning  1919 de 7.7mm 2 Browning M2 de 12.7mm   
    Le Short S.25 Sunderland britannique est un hydravion de patrouille maritime à coque mis au point pour la Royal Air Force par Short Brothers. Il effectua son premier vol le 16 octobre 19371 avec à ses commandes le pilote d'essai en chef de chez Short, John Lankester Parker. Basé en partie sur le Short S.23 Empire, l'avion phare de la compagnie d'aviation civile Imperial Airways, le Short Sunderland a été largement repensé pour son action militaire. Il a été l'un des plus puissants hydravions de la Seconde Guerre mondiale2 et a été largement utilisé tout au long de la guerre. Il a été employé dans la lutte contre les sous-marins allemands dans la bataille de l'Atlantique.

    Hydravion Short Sunderland

    Tout comme le S.23, le Sunderland était équipé de deux ponts avec pour le pont inférieur 6 couchettes, une cuisine avec deux réchauds à kérosène, un cabinet de toilette en porcelaine, un treuil pour l'ancre et un petit atelier pour les réparations devant être effectuées en vol. L'équipage prévu initialement était de 7 membres mais il fut rapidement monté à 11 ou plus sur les dernières versions.

    Hydravion Short Sunderland

    Le Sunderland n'étant pas pourvu de train d'atterrissage, un chariot spécial était nécessaire pour sortir d'appareil de l'eau. Ce chariot sur roues était conçu pour couler sous l'appareil. Le chariot principal constitué des roues principales et terminé par deux potences était fixé sous les ailes et plaqué le long de la coque. L'opération nécessitait que deux personnes s'immergent complètement. Un chariot plus petit venait se placer sous la queue, à l'endroit où la coque remonte pour sortir de l'eau. Les potences du chariot principal venaient se loger dans des butées sous les ailes et n'étaient maintenues en place que par le poids de l'avion.

    Hydravion Short Sunderland

    Atelier d'assemblage des ailes et des moteurs du S25 Short Sunderland. Les ailes, de section épaisse, étaient conçues pour supporter 4 nacelles moteurs et 6 réservoirs cylindriques de carburant pour une capacité totale de 2 025 gallons impériaux. 4 petits réservoirs additionnels furent ajoutés plus tard pour augmenter la capacité à 11 602 litres ou 2 550 gallons impériaux, suffisant pour des patrouille de 8 à 14 h de vol.

    Hydravion Short Sunderland

    Construction à la chaine. A partir de 1937, 478 exemplaires furent construits.

    Hydravion Short Sunderland

    Atelier d'assemblage des nacelles moteurs du S25 Short Sunderland

     

    Hydravion Short Sunderland

    Vue d'un Sunderland en mission vers l'Islande

     

    Hydravion Short Sunderland

    Vol en formation de ces gros bombardiers très ventrus qui ne pèsent pourtant que 15 tonnes à vide


    Hydravion Short Sunderland

    Démonstration devant le public avec 2 moteurs à l'arrêt.

     

    Hydravion Short Sunderland

     La maintenance des moteurs était possible en ouvrant des panneaux d’accès situés sur le bord d’attaque de l’aile de chaque côté du moteur. Une nacelle facilitant l’accès pouvait être fixée devant le moteur sur ces panneaux ouverts. Un petit moteur à essence auxiliaire, installé dans l’aile droite, pouvait alimenter un puisard et une pompe à carburant pour écoper l’eau et autres liquides de fond de cale ainsi que pour le ravitaillement en carburant. 
     

    Hydravion Short Sunderland

    Un grand flotteur était fixé à l’extrémité de chaque aile pour assurer la stabilité sur l'eau de l'appareil. Sans vent, seul le flotteur du côté le plus lourd touchait l'eau, avec du vent, l’avion pouvait assurer sa stabilité avec ses ailerons sans que les flotteurs touchent l'eau. En cas de perte d'un flotteur, une partie de l'équipe se positionnait sur l'aile opposée pour garder le flotteur restant sur l'eau le temps que l'avion regagne un ponton. 

    Hydravion Short Sunderland

     Très impressionnante cette vue de face du bombardier S25 Sunderland.
    Les ailes sont implantées en position haute, afin d'empêcher les embruns d'atteindre les moteurs.
    Ceci est le lot de la plupart des hydravions.
     

    Hydravion Short Sunderland

     Lâcher de charge anti sous marines.
     Les munitions utilisées étaient soit des bombes standards soit des charges de profondeur. Les racks de lancement étaient limités à 500 kg chacun, ce qui obligeait l’équipage à les rentrer et à les recharger manuellement une fois la première salve larguée.
     

    Hydravion Short Sunderland

     La guerre est finie!
    Ce Sunderland débarrassé de ses peintures de camouflage a rejoint une Compagnie privée plus pacifique.
     

     

     

       
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    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre
     
     La bataille d'Angleterre (nom français pour l'anglais : Battle of Britain), qui s'est déroulée de juillet 1940 à octobre 1940, suivie par le blitz jusqu'à mai 1941, opposa principalement les Britanniques aux Allemands au moyen de l'aviation et marqua une étape décisive dans le cours de la Seconde Guerre mondiale, parce qu'elle mit un terme à la série de victoires éclairs et éclatantes des Allemands

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre

     

    La campagne aérienne finale, marquée par les bombardements de Coventry et de Londres, est souvent désignée par l'expression « le Blitz ».Cette opération de grande ampleur était menée par la Luftwaffe pour détruire la RAF

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre

     Au début de la bataille d'Angleterre les flottes de bombardiers allemands s'en prennent de préférence aux usines d'aviations Anglaises et aux aérodromes Britanniques

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre

     Le commandement Allemand entame alors une opération d'invasion des iles Britanniques.
    Une campagne longue et difficile.

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre
    Le Grand Maréchal Göring qui a en charge l'invasion de l'Angleterre au moyen de l'aviation

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre

     Cyril Newall est promu Chevalier Grand-Croix de l'Ordre du Bain en 1938. Il est toujours Chief of the Air Staff au début de la Seconde Guerre mondiale le 1er septembre 1939, sa principale contribution à l'effort de guerre est son opposition au transfert d'escadrons de chasse pour aider les français en déroute préservant ainsi une grande partie des forces de chasseurs qui allaient devenir cruciale lors de la bataille d'Angleterre.

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre

    Les Heinkel 111 envahissent le ciel de Londres
    Heinkel 111
      Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre
     Un Heinkel 111 équipé d'une lame pour couper les attaches des ballons d'observation.
      Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre
     Concentration du pilote et calculs du navigateur. L'objectif est en vue.

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre

     Le voici l'objectif!
    Les docks de Londres qui vont être la proie des escadres de Heinkel 111.

      Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre

     Les trappes sont ouvertes et les bombes de 250 kilos sont sur le chemin de la destruction.
    Londres et ses docks sont dans la souffrance.

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre

    Mais c'était sans compter sur la détermination des équipages des "spits" et des Hurricanes. 

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre

     Les Brownings des "Spits" labourent les fragiles verrières des Heinkel 111.

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre

     Le navigateur continue imperturbablement sa tache de navigation, de mitrailleur et de bombardier sous le feu des chasseurs Anglais bien décidés à sauver leur pays. 

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre
     Il faut malgré tout, tenter d'échapper aux redoutables attaques des chasseurs Britanniques.

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre
     Les redoutables chasseurs Messerschmitt 109 se précipitent au secours des Heinkel 111 déjà  au prise avec la chasse Britannique.
      Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre
     Une fin dramatique pour un Heinkel 111.
    Ces combats de chasseurs autour des flottes de bombardiers portent un nom.
    Ce sont des combats tournoyants.
      Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre
     Tower Bridge et les docks sous les bombes.
    La Capitale Britannique est en flamme.
    De nombreuses et innocentes victimes sous les décombres.
      Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre
     Encore un Heinkel qui ne retraversera pas le Channel.
    C'était toute la difficulté pour les équipages Allemands abattus et survivants.
    Ces aviateurs étaient rapidement récupérés et internés par les autorités Britanniques.
    Très largement aidées par la population, dans cette tache.

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre

     De nouvelles vagues de bombardiers Allemands sont lancées sur les infrastructures Britanniques.
    Cet équipage porte les masques respiratoires, afin de  voler à très haute altitude.
    Dans l'espoir de pouvoir échapper à la DCA .

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre
    Malgré les consignes données par le Haut Commandement des bombes seront lancées par erreur sur les quartiers Londoniens et feront beaucoup de victimes.
      Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre
     Cette stratégie échoue et amène Hermann Goering, le responsable des forces aériennes allemandes, à s'attaquer aux villes, à partir de septembre 1940, en privilégiant désormais les attaques nocturnes. L'objectif de ces bombardements massifs, qui déversent des milliers de tonnes de bombes sur les grandes villes anglaises, est de paralyser le pays en anéantissant l'industrie et les centres administratifs et militaires. Mais il est également psychologique.

    Bombardier Heinkel 111B dans la Bataille d'Angleterre

      « Jamais tant de gens n'ont dû autant à si peu » (« Never was so much owed by so many to so few ») est une expression prononcée, le 20 août 1940, par Winston Churchill, alors Premier ministre britannique.
     

     

     

       
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    Bombardier Heinkel 111B dans la Légion Condor
     
     La légion Condor est une force aérienne formée de volontaires à partir d'effectifs de l’Armée de l'air de l'Allemagne nazie, qui a combattu en Espagne aux côtés des nationalistes durant la guerre civile, entre juillet 1936 et avril 1939.

    Bombardier Heinkel 111B dans la Légion Condor

     He 111 B : Heinkel équipa le He 111 avec des moteurs plus puissants de 1 000 ch chacun et nomma cette variante He 111 B (vitesse maximale : 417 km/h). La Luftwaffe utilisa cet appareil à partir de début 1937 sous la dénomination He 111 B-1 avec des moteurs DB 600 C. Le modèle B-2 avait de meilleurs moteurs DB 600 CG et un meilleur armement auxiliaire. À partir de mars 1937, 30 exemplaires de ce type furent testés dans des conditions réelles au sein de la Légion Condor.

    Bombardier Heinkel 111B dans la Légion Condor

     Cette version du Heinkel 111B est encore dotée d'un poste de pilotage en échelon.

    Bombardier Heinkel 111B dans la Légion Condor

    La barquette ventrale na pas encore été installée sur ce modèle surpris en plein bombardement.

    Bombardier Heinkel 111B dans la Légion Condor

     Le navigateur est visiblement très absorbé par sa tache qui consiste à guider le pilote et son  équipage vers le lieu des opérations de  largage des bombes. 


    Bombardier Heinkel 111B dans la Légion Condor

     Image paisible d'un bombardier qui ne tardera pas à faire pleuvoir avec fureur et détermination les foudres du ciel sur une population civile innocente et désarmée.
     

    Bombardier Heinkel 111B dans la Légion Condor

     Un Heinkel 111 qui patiente et sommeille au coté de sa provision mortelle de bombes de 250 kilos

    Bombardier Heinkel 111B dans la Légion Condor

     L'anxiété se lit sur le visage de ces jeunes hommes en route pour livrer leur mortelle cargaison

    Bombardier Heinkel 111B dans la Légion Condor

     A l'ombre d'un oiseau aux intentions trop souvent mortelles
    Heinkel 111
     

    Bombardier Heinkel 111B dans la Légion Condor

     Un junker 52 en visite amicale sur cet aérodrome espagnol
     

    Bombardier Heinkel 111B dans la Légion Condor

     Visiblement un Heinkel 111 qui n'a pas rencontré que des amis dans le doux ciel d'Espagne

    Bombardier Heinkel 111B dans la Légion Condor

     Sur le Heinkel 111 version B, le  mitrailleur ne disposait pas encore d'une barquette ventrale.

    Cette tourelle rétractable ne s'est pas montrée très performante. Elle fut supprimée.

     

    Bombardier Heinkel 111B dans la Légion Condor

     Retour de mission au caractère dramatique
     

     

     

     

       
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    Bombardier Heinkel 111     (Intérieur du cockpit)
     
     

     

    Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)

     Compartiment des bombes. 2000 kilos sur le Heinkel 111

    Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)
     Râteliers à bombes. Le plus souvent, 250 kilos chaque bombe, sur le Heinkel 111

    Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)
     Vue vers l'arrière de la soute à bombes au dessus de la barquette ventrale

    Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)
    Barquette ventrale
      Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)
     Opération de visée et largage des bombes  sur le Heinkel 111
    Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)
     Poste d'équipage - Pilote et navigateur et opérateur radio.
    Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)
     Tableau de bord du Heinkel 111 en position haute
    Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)
     Dispositif de bombardement et poste du mitrailleur avant, en position couchée, dans le nez vitré

    Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)

     Poste de pilotage et manche pouvant être basculé vers le navigateur. 
    Heinkel 111

    Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)

     Le nez entièrement vitré du Heinkel 111 offre une grande visibilité pour l'équipage

    Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)

     Le Heinkel 111 s'est montré un excellent bombardier, mais son nez entièrement vitré s'est souvent révélé néfaste pour les équipages, sous les attaques des chasseurs ennemis.
    Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)

     Position inférieure du mitrailleur dans la trappe ventrale du HE 111.

    L'entrée se trouvait sous le rembourrage du matelas.

    Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)
     Une des mitrailleuses latérales
    Heinkel 111  (Intérieur du cockpit)

     Retour de mission ou en route vers l'objectif?

    Nul ne le saura jamais!

     

     

       
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  • Bombardier Heinkel 111
     
     Constructeur    Heinkel Flugzeugwerke GmbH  Nb construits  6508  1er vol  1935  
    Moteurs    2 Junkers Jumo 211 F-2  Type  12 cylindres en V  Puissance  1350 ch  
     Envergure   22,6m  Longueur 16,39  Hauteur  4m  Surface alaire  86,50m²
    Vitesse 435km/h Plafond 8500m Rayon d'action  8000 km Equipage  5    
    Poids   7720 kg Poids avec armement 13500kg      2000kg de bombes  
    Canon   1 Mg FF  de 20mm Mitrailleuses 5 Mg15 de 7.92mm 1 Mg17 de 7.92mm   
    Le Heinkel He 111 est un avion allemand de la Seconde Guerre mondiale construit par la société Ernst Heinkel Flugzeugwerke à Rostock, et qui vit le jour à l'époque de la renaissance clandestine de la Luftwaffe. C'est un bimoteur développé comme bombardier, mais aussi comme avion de ligne pouvant transporter dans cette version dix passagers en plus des quatre hommes d'équipage. L'expérience acquise avec le Heinkel He 70 fut déterminante pour le développement du He 111.

    Heinkel 111

    Le Heinkel He 111 était un avion allemand conçu par Siegfried et Walter Günter à Heinkel Flugzeugwerke en 1934. Au cours de son développement, il a été décrit comme un « loup déguisé en mouton ». En raison des restrictions imposées à l'Allemagne après la Première Guerre mondiale interdisant les bombardiers, il s'est fait passer pour un avion de ligne civil, même si, dès sa conception, sa conception visait à fournir à la Luftwaffe naissante un bombardier moyen rapide.

    Heinkel 111

    Le V4 (W.Nr. 1968, D-AHAO "Dresde" a eu une carrière beaucoup plus courte ; Démontré avec un aplomb considérable par le pilote d'essai Heinkel Gerhard Nitschke en janvier 1936, ce fut le premier exemplaire doté d'une aile entièrement métallique et servit de prototype de la série C. En avril, cependant, l'avion a été gravement endommagé lorsqu'il a roulé dans un bâtiment... ainsi, "Dresde" n'a jamais figuré dans l'inventaire officiel des services de Lufthansa.

    Heinkel 111

    Chargez-les ! Du site Web de Lufthansa vient cette superbe photo d'un He111C chargé d'une cargaison résolument piétonne ; des éléments intéressants à noter abondent dans cette photo, notamment l'intérieur du nez et les pattes d'engrenage argentés, la qualité de la finition et divers détails du panneau et du contour du moteur.
    Les variantes passagers du 111 souffraient de l'inclusion de cloisons intérieures que le RLM spécifiait devoir conserver afin de faciliter la conversion de l'avion en rôle de bombardier ; cet héritage se fait encore sentir plus de soixante ans après l'entrée en service de l'avion de Lufthansa, car le kit Roden présente également des difficultés de cloison extrêmes !

     

    Heinkel 111

     

    Heinkel 111

     

    Heinkel 111

    Heinkel 111
     

     

     

       
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